La guerre ne permet pas de déterminer qui a raison, mais uniquement qui survit.





Lors d'une sortie à Paris, nous les petits campagnards Sarthois devions écrire un Poème, en l'occurrence un sonnet, sur notre voyage, voici le mien :

La Capitale

Ô Cité, si belle, accueillante et merveilleuse,
Ou se lie d'une façon somptueuse et sereine
Bâtiments et monuments côtoyant la Seine,
Comme des Narcisses immenses et rêveuse.

De cette Tour de métal surplombant Paris,
Semblable à un oiseau, j'écoute de très haut
Un amas de klaxon provenant des autos
Qui résonne dans ma tête et rythme ma vie.

Dans ce musé ou se mêle art et élégance,
Je contemple la Joconde, pure et somptueuse.
C'est dans cette ville sublime et amoureuse,

Que le soir sur un bateau calme et éloquence
font palpiter mon cœur affectueux et vertueux
Pour cette fille qui me plaît aux long cheveux.


Note du professeur : 20/20
Commentaire du professeur : Très élégant poème

En voici un autre sur la Saint Valentin.

Ô sublime créature, fille de mes rêves.
C'est en ce jour empli d'amour et de plaisir,
Que mon cœur vous dévoile ses mille et un désir
Rempli de passion comme Adam l'a fait à Eve.

Jeune demoiselle, origine de mon bonheur
Vous qui, avec vertu, faites palpiter mon cœur.
Nul jour ne se lève sans que je pense à vous,
Amoure divine je ne peux vivre sans vous.

Tant de joie et d'émotion à vos côtés,
Tant de tendresse et d'affection à partager
J'aurais aimé que ça dure pour l'éternité

Maintenant pourtant nous nous sommes éloignés
Mais ces douces paroles ditent dans ce poème
Ne suffiront pas à te dire combien je t'aime.